Le Grigri t’invite à … Onyx Collective

Pour gagner vos places pour le concert d’ouverture du festival Banlieues Bleues en compagnie des new-yorkais Onyx Collective, c’est ici…

Pour gagner vos places pour le concert d’ouverture du festival Banlieues Bleues en compagnie des new-yorkais Onyx Collective il suffit de vous inscrire à la newsletter du Grigri ici même et d’envoyer vos Nom et Prénom avec «ONYX» en objet à : legrigriradio@gmail.com. Les heureux gagnants seront prévenus mercredi 4 mars !

En à peine cinq ans, la bande créée à New York par le saxophoniste Isaiah Barret le batteur Austin Williamson s’est fait une place à part sur l’échiquier de la Great Black Music. Capables de faire du free jazz à la Ornette Coleman un jour, du hip-hop avec Princess Nokia le soir et de la nu-soul à la Frank Ocean juste après, ils affirment n’avoir aucune chapelle stylistique. Les voilà qui ont décidé de reprendre à leur sauce samouraï les hymnes signés Richard Rodgers et Lorenz Hart : Blue Moon, My Favorite Things, My Funny Valentine, et tant d’autres chansons que s’étaient appropriés Billie Holiday, Miles, Coltrane, Chet Baker, Ella Fitzgerald, Elvis ou Sinatra…

Et on nous signale dans l’oreillette qu’ils seront précédés d’une performance solo du troubadour et saxophoniste Sylvain Rifflet… Ca s’appelle plus communément une soirée à ne pas manquer. On croise les doigts pour vous !

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Rappeuse de 24 ans, née à Détroit et installée à Chicago – axe artistique américain doré – débarque avec son premier album MERRY&RUE. Sur des morceaux courts mais percutants , son flow caméléon navigue avec aisance entre de superbes instrus lo-fi, soulful et expérimental. Avec des collaborations de Homeboy Sandman et Vic Spencer, un mixage pour Nolan The Ninja, la jeune MC prouve qu’elle sait bien s’entourer. Une petite bouffée d’air frais rapologique!

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Derrière le rideau de fer, il y avait des chars, des idéaux dévoyés comme des micros planqués — et plus étrange : du jazz. Spirituel, incandescent, mais surtout clandestin. À l’Est, on soufflait dans les saxs comme on lançait des prières ou des pierres, chez soi ou bien loin des spotlights. Behind the Iron Curtain explore un monde verrouillé, où les disques passaient sous le manteau et la liberté vibrait à chaque note. Des Carpates à l’Oural, le jazz comme insoumission, ou comme cheval de Troie — avec des étoiles plein les oreilles.

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