Carte Blanche à David Sztanke

Beaucoup le connaissent comme le Tahiti Boy de Tahiti Boy and the Palmtree Family. Mais David Sztanke est aussi compositeur de B.O., baroudeur-laborantin de la pop frenchy ou saxophoniste-pianiste passé par la prestigieuse Juilliard School. Ses choix? Dr. John, Michel Colombier, Freddie Hubbard, Os Mutantes ou Frank Ocean.

Beaucoup le connaissent comme le Tahiti Boy de Tahiti Boy and the Palmtree Family. Mais David Sztanke est aussi plein d’autres gens/personnes/personnalités tout aussi captivantes. Il est par exemple compositeur de B.O. pour Quentin Dupieux, Mikhaël Hers ou Christophe Honoré. Il est aussi baroudeur-laborantin sur son nouvel album sous son nom, Air India. Un road-trip complètement fou qui a des airs de Melody Nelson qui joue les Beatles à Bollywood et qu’il présentera sur scène le 6 février prochain au Café de la Danse. Et puis, David Sztanke est aussi un saxophoniste-pianiste passé par la prestigieuse Juilliard School comme Miles Davis ou Chick Corea en leur temps. On était donc bien curieux de lui confier une carte blanche du Grigri. Et on n’est pas déçus du voyage.

Tracklist

  1. Michel Colombier – L Alpagueur

  2. Dr Dog – Alaska

  3. Serge Gainsbourg – Première blessure (BO Cannabis)

  4. Johnny Harris Orchestra -Footprints on the moon

  5. Freddie Hubbard – Red Clay

  6. Oliver Nelson – Hoe Down

  7. Dr. John – Jump Sturdy

  8. Alice Coltrane – Rama Guru

  9. Ananda Shankar – Streets Of Calcutta.

  10. Os Mutantes – It’s Very Nice Pra Xuxu

  11. Frank Ocean – Moon River

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Rappeuse de 24 ans, née à Détroit et installée à Chicago – axe artistique américain doré – débarque avec son premier album MERRY&RUE. Sur des morceaux courts mais percutants , son flow caméléon navigue avec aisance entre de superbes instrus lo-fi, soulful et expérimental. Avec des collaborations de Homeboy Sandman et Vic Spencer, un mixage pour Nolan The Ninja, la jeune MC prouve qu’elle sait bien s’entourer. Une petite bouffée d’air frais rapologique!

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Derrière le rideau de fer, il y avait des chars, des idéaux dévoyés comme des micros planqués — et plus étrange : du jazz. Spirituel, incandescent, mais surtout clandestin. À l’Est, on soufflait dans les saxs comme on lançait des prières ou des pierres, chez soi ou bien loin des spotlights. Behind the Iron Curtain explore un monde verrouillé, où les disques passaient sous le manteau et la liberté vibrait à chaque note. Des Carpates à l’Oural, le jazz comme insoumission, ou comme cheval de Troie — avec des étoiles plein les oreilles.

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