Tony Allen, Hugh Masekela et la nouvelle scène jazz

Quand le batteur et co-fondateur de l’Afrobeat Tony Allen rencontre le jazzman et trompettiste sud-africain Hugh Masekela, on avoue que l’affiche est plutôt alléchante.

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Tony Allen x Hugh Masekela

Probablement l’une des plus excitantes collaborations à venir…

Quand le batteur et co-fondateur de l’Afrobeat Tony Allen rencontre le jazzman et trompettiste sud-africain Hugh Masekela, on avoue que l’affiche est plutôt alléchante. Et si en plus on apprend qu’ils sont rejoints par le fleuron de la scène jazz actuelle, alors là on dit oui direct, les yeux fermés et les oreilles grandes ouvertes.

Au programme, huit titres enregistrés en 2010 et dépoussiérés en 2019 par Tony Allen et le producteur Nick Gold — rendant hommage à Hugh Masekela disparu en janvier 2018. Les deux mastodontes sont accomapgnés de Tom Herbert (Acoustic Ladyland / The Invisible), Joe Armon-Jones (Ezra Collective), Mutale Chashi (Kokoroko) et Steve Williamson.

Rejoice (dont le jaquette est fortement inspirée du label Blue Note) sortira le 20 mars prochain sur le label World Circuit Records et on peut déjà s’en écouter un premier titre avec “We’ve Landed” juste ici.

Subscribe to World Circuit – https://worldcircuit.lnk.to/WCYouTubeID The first single from Tony Allen & Hugh Masekela’s very special collaboration, out March 20th on World Circuit. Preorder or Presave: http://worldcircuit.lnk.to/Rejoice ‘Rejoice’ is a very special collaboration between Tony Allen, the legendary drummer and co-founder of Afrobeat, and Hugh Masekela, the master trumpet player of South African jazz.

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Derrière le rideau de fer, il y avait des chars, des idéaux dévoyés comme des micros planqués — et plus étrange : du jazz. Spirituel, incandescent, mais surtout clandestin. À l’Est, on soufflait dans les saxs comme on lançait des prières ou des pierres, chez soi ou bien loin des spotlights. Behind the Iron Curtain explore un monde verrouillé, où les disques passaient sous le manteau et la liberté vibrait à chaque note. Des Carpates à l’Oural, le jazz comme insoumission, ou comme cheval de Troie — avec des étoiles plein les oreilles.

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Alliance du bout du monde entre le rappeur Mary Sue et le groupe jazz The Clementi Sound Appreciation. La recette est donnée dès le premier morceau : samples de musique folklorique d’Asie du Sud-Est mixés à des instrumentations live, sur lesquelles se pose le flow et les lyrics abstraites du MC. On se croirait en plein rap alternatif américain, mais cela nous vient directement de l’underground singapourien. Un objet sonique unique et percutant. La sono mondiale, la vraie !

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