Pour gagner vos places pour le concert de Leyla Mc Calla ce vendredi 20 mars dans le cadre du Festival Banlieues Bleues, il suffit de vous inscrire à la newsletter du Grigri ici même et d’envoyer vos Nom et Prénom avec «LEYLA» en objet à : legrigriradio@gmail.com. Les heureux gagnants seront prévenus mercredi 18 mars.
Ses racines sont créoles et haïtiennes, son lieu de naissance est New York et son home sweet home à la Nouvelle-Orléans. Leyla Mc Calla, qui a signé chez Jazz Village le brillant Capitalist Blues, sera sur la scène de Banlieues Bleues ce vendredi 20 mars. Préparez-vous à voyager en plein Atlantique noir avec cette jeune chanteuse et multi-instrumentiste qui nous mène dans cette culture hybride, ni africaine, ni américaine, mais bien les deux à la fois. De la folk où se mêlent rhythm’n’blues, swing, blues à l’ancienne, folklore haïtien, musiques cajun, calypso…
C’est dans ce « langage de résistance », le créole, que Leyla Mac Calla choisit d’écrire et de chanter pour porter des textes engagés, militant pour plus de justice envers les exclus de l’American dream.
Elle ouvrira le bal à Mélissa Laveaux (qui pirate le Grigri cette semaine avec une carte blanche) et on vous souhaite sincèrement de pouvoir découvrir ou redécouvrir ces deux artistes haïtiennes. Bòn chans !
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Rappeuse de 24 ans, née à Détroit et installée à Chicago – axe artistique américain doré – débarque avec son premier album MERRY&RUE. Sur des morceaux courts mais percutants , son flow caméléon navigue avec aisance entre de superbes instrus lo-fi, soulful et expérimental. Avec des collaborations de Homeboy Sandman et Vic Spencer, un mixage pour Nolan The Ninja, la jeune MC prouve qu’elle sait bien s’entourer. Une petite bouffée d’air frais rapologique!
Derrière le rideau de fer, il y avait des chars, des idéaux dévoyés comme des micros planqués — et plus étrange : du jazz. Spirituel, incandescent, mais surtout clandestin. À l’Est, on soufflait dans les saxs comme on lançait des prières ou des pierres, chez soi ou bien loin des spotlights. Behind the Iron Curtain explore un monde verrouillé, où les disques passaient sous le manteau et la liberté vibrait à chaque note. Des Carpates à l’Oural, le jazz comme insoumission, ou comme cheval de Troie — avec des étoiles plein les oreilles.