Pour gagner vos places pour le concert de DOMi et JD Beck le mardi 25 février au Point Ephémère, il suffit de vous inscrire à la newsletter du Grigri ici même et d’envoyer vos Nom et Prénom avec « DOMI » en objet à : legrigriradio@gmail.com. Les heureux et beaux gagnants seront prévenus le dimanche 23 février.
Avec un look teenager des plus stylés, ils forment aujourd’hui le duo virtuose very trendy du Net. Lui, c’est JD Beck, batteur et producteur né à Dallas. A 16 ans, le jeune prodige de la scène urbaine & hip-hop a quand même déjà joué avec Thundercat, Andreson Paak, Jon Bap, Anna Wise et MonoNeon (bassiste de Ghost-Note) ! Elle, c’est Domitille Degalle alias DOMi, 18 ans. Un beau jour de 2016, elle quitte sa terre natale nancéienne pour intégrer le prestigieux Berklee College de Boston. Ses collaborations avec Louis Cole (on en profite pour vous refaire cadeau de sa carte blanche, c’est gratuit à l’infini), Robert Glasper ou encore Mark Guiliana font d’elle l’une des jeunes claviéristes les plus prometteuses et excitantes du mouvement jazz-funk actuel.
Le duo se rencontre par l’intermédiaire de Robert « Sput » Searight, batteur de Snarky Puppy, sur le NAMM Show 2018, grand salon professionnel de l’industrie musicale qui a lieu chaque année à Anaheim, en Californie. Depuis, on les présente comme LE son jazz du XXIe siècle.
Vous l’aurez compris, on vous invite vivement à tenter votre chance pour découvrir ces deux acolytes qui seront sur la scène du Point Ephémère à Paris le mardi 25 février. Good luck !
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Le saxophoniste, flûtiste et producteur Chip Wickham poursuit son parcours impeccable avec ce nouvel opus, The Eternal Now. Son jazz mélodique explore de nouveaux horizons, entre musique de film, groove soul et influence « Ninja Tunesque » — rien d’étonnant : le batteur de The Cinematic Orchestra est de la partie. Il s’en dégage une ambiance hors du temps, légèrement mélancolique mais profondément belle. Le disque parfait pour les week-ends d’automne ensoleillés, tasse de café à la main.
Le DJ Cheb Chero et le label We Want Sounds nous ont ressorti une véritable pépite! Enregistré à Paris en 1975, l’album Ken and Habib du saxophoniste algérien Freh Khodja accompagné par Les Flammes, un groupe d’immigrés, reflète la richesse musicale des diasporas à l’époque. C’est un véritable maelström d’influences : musique arabe, rythmes latins, groove capverdien mêlés au jazz et à la funk. On tourne en boucle sur des morceaux comme Habitek ou Hawa et preuve- très précieuse en ce moment – que l’union des cultures produit de la pure musique!
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