Tim Bernardes

Mil Coisas Invisíveis de Tim Bernardes tourne en boucle sur le Grigri !

 

Tim Bernardes, surement en visite aux Buttes-Chaumont

« Les époques dégueulasses sont propices aux chefs-d’œuvre » – Wolinski 

Réchauffement climatique, révocation du droit à l’avortement, guerres, nouvelle vague de Covid,… et au milieu de cet ocean de m*****, flottent encore quelques bonheurs pour venir adoucir nos coeurs et oreilles meurtries; à commencer par ce chef d’oeuvre de Tim Bernardes « Mil Coisas Invisíveis » – Milles choses invisibles en VF.

Certains diront que ça n’est pas « assez Grigri », « trop indie-folk », on vous répondra que c’est surtout « trop beau », qu’on n’aime pas les étiquettes et qu’on fait encore ce qu’on veut d’ici au rachat de la radio par Bolloré. Et en attendant l’offre, on se prélasse en écoutant ces milles choses invisibles à l’œil (oreille) nu que nous promet Tim Bernardes, chanteur, auteur-compositeur, producteur homme aux milles autres casquettes et dont le père ne serait autre que Mauricio Pereira, entre autres, membre de l’Universal Mauricio Orchestra!

L’amour, la saudade, la félicité, l’apaisement, la générosité, l’émerveillement, la serénité,… milles sentiments et sensations par lesquelles vous passerez à l’écoute de ces 15 titres qui relient dans une quadrature magique tropicalia, indie-folk, samba et musiques populaire brésilienne.

On vous aura prévenu : un chef d’œuvre. Et si ça n’en était pas un; en cette époque dégueulasse, ça sonne tout comme.

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Le multi-instrumentiste anglais Greg Surmacz ose une formule audacieuse sur ce cinquième album : le mariage, souvent mal compris, entre jazz et beats électroniques. Ce sont les mélodies, saisissantes et limpides, qui captent immédiatement notre attention et nous plongent dans un univers hybride où solos de saxophone croisent les rythmes fracturés d’IDM ou de footwork. Contre toute attente, l’alchimie opère, et l’on entend quelque chose de véritablement inédit. Le genre de projet qu’on adore défendre au Grigri.

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