Pour gagner vos places pour le concert de Nérija au New Morning vendredi 14 février, il suffit de vous inscrire à la newsletter du Grigri ici même et d’envoyer vos Nom et Prénom avec «NERIJA» en objet à : legrigriradio@gmail.com. Les heureux gagnants seront prévenus jeudi 13 février.
Au retour des vacances d’été, on avait gardé le souvenir encore intact des longues soirées apéritives et de la découverte de ce premier album de Nérija…A tel point qu’en septembre, Blume (sorti le 2 août 2019 chez Domino) était déjà disque de la semaine sur Le Grigri, cet album aussi « limpide, lumineux, aérien, coloré, rêvassant » qu’un délicieux Spritz savouré en plein soleil.
Si vous avez manqué de peu la saxophoniste Nubya Garcia à La Cigale avec Kokoroko la semaine dernière, on vous offre le moyen de vous rattraper en beauté. A ses côtés, ce vendredi sur la scène du New Morning, une power team issue du jazz contemporain : Sheila Maurice-Grey (trompette), Cassie Kinoshi (saxophone alto), Rosie Turton (trombone), Shirley Tetteh (guitare), Lizy Exell (batterie) et Rio Kai (contrebasse).
Alors pour cette Saint-Valentin, abandonnez tout plan romantique un peu surfait… Le sextet londonien le plus symbiosé du moment vous attend, vous et votre moitié, pour balancer de l’amour en afrobeat. De quoi se pacser aussi avec leur groove et leur jazz un brin grunge à s’envoyer en l’air.
Last news
Rappeuse de 24 ans, née à Détroit et installée à Chicago – axe artistique américain doré – débarque avec son premier album MERRY&RUE. Sur des morceaux courts mais percutants , son flow caméléon navigue avec aisance entre de superbes instrus lo-fi, soulful et expérimental. Avec des collaborations de Homeboy Sandman et Vic Spencer, un mixage pour Nolan The Ninja, la jeune MC prouve qu’elle sait bien s’entourer. Une petite bouffée d’air frais rapologique!
Derrière le rideau de fer, il y avait des chars, des idéaux dévoyés comme des micros planqués — et plus étrange : du jazz. Spirituel, incandescent, mais surtout clandestin. À l’Est, on soufflait dans les saxs comme on lançait des prières ou des pierres, chez soi ou bien loin des spotlights. Behind the Iron Curtain explore un monde verrouillé, où les disques passaient sous le manteau et la liberté vibrait à chaque note. Des Carpates à l’Oural, le jazz comme insoumission, ou comme cheval de Troie — avec des étoiles plein les oreilles.