Pour gagner vos places pour le concert de Laura Perrudin “Doksha” lundi 24 février au Pan Piper, il suffit de vous inscrire à la newsletter du Grigri ici même et d’envoyer vos Nom et Prénom avec «DOKSHA» en objet à : legrigriradio@gmail.com. Les heureux et beaux gagnants seront prévenus samedi 22 février !
Déjà dans son deuxième album « Poisons & Antidotes » — sorti chez Volatine et ni plus ni moins masterisé par M. Valgeir Sigurðsson, le producteur de Björk — s’annonçait l’ovni sonore, carrément moderne, qu’est Laura Perrudin. Jamais très loin de sa harpe chromatique électrique, elle est de celle qui vous sert sur un plateau et sur la scène l’amour des textures sonores bien ficelées, peu importe les grands écarts entre les étiquettes et les esthétiques.
Gardant le cap des lisières, ce nouveau projet Doksha a tout pour éveiller notre curiosité. Faut dire que cette harpiste, chanteuse, autrice, compositrice et productrice, continue d’y exercer son audace du cross-over. Du jazz, de la soul et du hip-hop. De l’expérimental en format chanson. Du texte écolo et même de l’humour à la Shadoks, tout ça en bilingue s’il vous plait.
Pour fêter le début de semaine, et même pour certains le début des vacances, on espère que vous pourrez assister à ce concert sur la scène du Pan Piper où elle sera accompagnée de son new band : Ronan Courty (contrebasse), Arthur Hnatek (batterie), Thibault Florent (guitare) et Gérald Chevillon (saxophone basse). Good luck !
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Réédition d’un joyau du gwoka, musique née en Guadeloupe et portée par les tambours, les chœurs et l’esprit de résistance. Sorti en 1979, cet album de Luc-Hubert Séjor – figure emblématique de la culture guadeloupéenne – explore d’abord une fusion audacieuse du gwoka avec le jazz et une touche de musique latine avant de revenir à une forme plus traditionnelle. Tambours et chœurs s’y répondent pour raconter l’histoire d’un peuple, entre mémoire, spiritualité et contestation. Merci au label Heavenly Sweetness et à sa précieuse collection Antilles Series pour cette réédition d’un disque devenu introuvable!
Dynamiter l’éthio-jazz avec des solos de saxophone sauvage et de grosses rythmiques : c’est la mission que poursuit depuis plus de 15 ans le groupe Ukandanz, fruit de la rencontre entre le quartet mené par Damien Cluzel et le chanteur éthiopien Asnake Guebreyes. Pour ce sixième album, cela démarre pied au plancher : leur formule, totalement maitrisée, nous propulse sur un dancefloor explosif où la transe est au rendez-vous. La reprise de War Pigs de Black Sabbath (!) en est la meilleure preuve. Un plan sonique totalement démoniaque!
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