Dans une semaine pile poil, à savoir samedi 17 novembre à 23h45, Le Grigri sera au D’Jazz Nevers pour un DJ-set exceptionnel. Exceptionnel pourquoi?
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Ce sera la fête de clôture d’un festival à la programmation ultra soignée (soigné signifiant dans notre langage cinglé : avec des artistes qui passent régulièrement sur Le Grigri comme Théo Girard, Laura Perrudin, Sylvain Rifflet, Ikui Doki ou encore Benjamin Flament.
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Si on ne dit pas de bêtises, c’est la première fois que le festival bourguignon organise un telle after au bar de La Maison de la Culture. On n’est donc pas peu fiers d’inaugurer cette tradition amenée à connaître un destin glorieux.
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Ce sera gratuit et donc ouvert à tout le monde. Même ceux qui ne nous aiment pas. Car il n’y a rien de plus beau de tenter de retourner l’opinion de quelqu’un avec quelques galettes bien senties.
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C’est la première fois qu’on est officiellement dans le programme d’un festival et ça fait quelque chose. Comme un petit battement au coeur qui ne dit pas son nom mais fait bien entendre son son.
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Pour fêter ça, on vous a préparé une playlist spéciale D’Jazz Nevers Festival aujourd’hui samedi 10 novembre à 16h. Parfait pour se préparer pour le premier concert de cette édition 2018 à 18h30 avec Geoffroy Tamisier, Stéphane Kerecki et Edouard Ferlet.
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Pour son second album en 2025, le guitariste, multi-instrumentiste et producteur japonais Takuro Okada signe un hommage à ses influences, de Sun Ra au saxophoniste norvégien Jan Garbarek (avec une reprise de son Nefertiti), en passant par la scène jazz fusion japonaise ou encore Flying Lotus. Ce type d’exercice, souvent raté chez d’autres, est ici parfaitement orchestré : chaque morceau dialogue avec le suivant, tissant un ensemble cohérent qui nous captive, parfois au bord de l’hypnose… comme ces cercles aux centres différents mais si proches de la pochette.
Au début, les jazzmen offraient aux producteurs hip-hop la matière première idéale pour leurs instrus. Mais aujourd’hui, la boucle s’inverse : ce sont de jeunes groupes qui se laissent imprégner par l’héritage de Madlib ou J Dilla. Symbole de cette mouvance, le quintet polonais Omasta façonne avec Jazz Report from the Hood un jazz-funk live jouissif, aux rythmes enfumés, prêt à être samplé et découpé dans une MPC. Une preuve que les B-boys et les amateurs de blue note n’ont jamais été aussi proches!
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